Solitude is a cruel friend [Pv Guillame B. Meslet]

Solitude is a cruel friend

Le parc, un endroit que je n'aurais jamais fréquenté si je ne m'étais pas sentie au plus mal – ou plutôt si Froggy ne s’était pas senti mal – . Des gamins turbulents envahissais l'endroit, leurs cris incessant était désagréable et insupportable. Les adultes pendus à leurs cigarettes, les enfants à leur sucettes, ceux qui n'étais pas accroc à la nicotine était la proie des sucreries. Mon daemon avait été prix d'un malaise qui m'avait donc également touché , nous étions descendu en titubant jusqu’à s’effondrer sur un banc et remplir nos poumons d'air frais qui nous avait revigoré. *Si tu me refais un coup comme ça je t'étripe !* menaçais-je. *Et puis depuis quand les grenouille font des malaise ?!* Je ferma les yeux et inspira profondément. Je me leva et faillit perdre l'équilibre. Je posa mon compagnon sur mon épaule, fit deux pas incertains et repris une marche normale. Je ne pensait pas que l’extérieur pouvais me faire un tel bien. Je traversa une route pour aller m'acheter de quoi manger, un sandwich pas très cher qui manquait singulièrement de goût mais qui allait me remplir le ventre. J'étais en trains de traverser quand Forggy me sermonna : *Non mais tu est folle ?! Tu ne regarde jamais quand tu traverse?!* Je m’arrêta net au milieu du passage piétons *Oh, tu m’engueule ou je me trompe ? Tu me donne la nausée ce matin et tu te permet de me faire la leçon ! Nan mais je rêve, j'ai bien vu qu'il n'y avait pas de voiture sinon je n'aurais pas...*. Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'une voiture me percuta. Un craquement sinistre se fit entendre. Le conducteur sortis paniqué de son véhicule. Des frisson parcoururent mon corps, je sentis un liquide chaud se rependre sur moi. Des visages aux mines inquiètes se penchèrent sur moi, ils devinrent flou puis ce fut le noir complet. Je repris connaissances quelques minutes plus tard. Des personnes essayais de me transporter. Je me dégagea de leurs bras et partis, je passa au dessus de la barrière vers le côté interdit au public ou des plantes poussaient à leurs aises. Je me réfugia derrière un buisson du parc. Je me blottis entre les feuilles et pensa un peu trop tard à mon âme sœur qui n'était pas immunisée contre la mort. *Je m'en suis sortis et j'essaye de te rejoindre* Mes côtes me faisaient affreusement souffrir et alors que je n'avaient pas songé à elles une seules fois maintenant que toute ma concentration était ramenée sur ma douleur cela devenait insupportable. Mon t-shirt maculé de sang avait taché les feuille qui était un contact avec lui. Un creux difforme s'était créé. Chaque respiration était un calvaire, je suffoquait en essayant de respirer sans aucune douleur – ce qui était impossible– . Je toussa et la douleur devins intolérable, je retins un cris d'agonie. Ce genre de choses n'arrivais qu'a moi, je n'avais jamais de chance, comment une situation pareille m'étais tombée dessus ? Ne pas pouvoir mourir ne m'avait pas aidé à avoir plus de chance, au contraire, ça avait empirée, c'est comme si je mourrais plein de fois de suite. De plus la douleur était la même que si je mourrais. En conclusion je souffrais trois fois plus que tout le monde et je n'avais personne dans ma vie qui voudrait ne serait-se qu'une seconde me regarder en face. Je souffrais seule en j'en arrivais à regretter le solitude. Pourtant elle avait été mon amie pendant si longtemps que j'aurais du m'accoutumer à sa présence.

‘‘Madison & Guillame’’

Solitude is a cruel friend

Guillame se réveilla en sursaut lorsque le professeur cria son nom d'un air sévère et colérique. Arrgh... il s'était encore endormit. De mauvaise humeur, le prof commença à le sermonner, manifestant son agacement à le voir systématiquement piquer un roupillon en cours. Le jeune homme ne tenta même pas de se justifier et répondit par un grognement. C'était pas sa faute s'il avait le sommeil lourd. Et puis son pouvoir forçait son cerveau à tourner à plein régime en permanence, d'où son besoin de dormir sans cesse. Mais ça évidemment, ils s'en foutaient tous. De mauvaise grâce, Guillame rouvrit son cahier en attendant avec impatience la fin du cours. Il s'ennuyait à mourir en classe et se demandait ce qu'il fichait encore ici. Heureusement, l'heure passa rapidement et il put enfin quitter la salle en soupirant, balançant son sac de cours sur l'épaule. Ezequiel le suivait d'un pas gracieux, observant ceux qu'ils croisaient avec un regard de prédateur, sans doute pour dissuader quiconque viendrait se mettre sur le chemin de Guillame. De toute évidence, il n'était pas d'humeur à taper la causette avec quelqu'un.

Les deux compères décidèrent d'aller s'installer dans le parc. Le jeune homme s'installa contre un arbre et entreprit de faire une sieste. Ezequiel s'assied face à lui et l'observa. Conscient que son daemon avait quelque chose à dire, la jeune homme soupira et ouvrit les yeux.

- Quoi ?
- Ne devrais-tu pas faire tes devoirs ?
- Puta*n, Ez ! Lâche-moi avec ça ! Ça serre à rien puisque je sais tout !

Le daemon plissa les yeux, l'air mécontent et poussa une petit grognement. Il n'aimait pas du tout que Guillame lui parle sur ce ton et vice-versa d'ailleurs. Finalement, pour éviter une dispute qui n'aurait pas de fin, Guillame attrapa son sac et se mit à l’œuvre. Les devoir furent rapidement expédiés, mais pour une fois il avait fait ça bien.
C'est à ce moment là qu'un bruit retentit, celui d'une voiture qui freine violemment et un bruit de choc. Ezequiel bondit sur ses pattes et le jeune homme sursauta violemment. Qu'est-ce qui s'était passé là-bas ? Il resta quelques secondes immobile puis, la curiosité le titillant, il finit par se lever à son tour.

- Tu crois que c'est un accident ?
- Il y a une odeur de sang. Ça ne doit pas être beau à voir, argumenta le félin.

Le temps qu'ils parviennent sur place, la "victime" avait disparue. En effet, il y avait bien des traces de gomme sur le bitume et du sang, mais ni conducteur, ni corps. Guillame se gratta le haut du crâne tandis qu'Ezequiel allait renifler le sang au sol. Puis, le museau à l'air, il retrouva la trace de la victime. Il entraina donc son ami derrière lui, pas forcément certain qu'il s'agisse d'une bonne idée. Ils avaient pas mieux à faire ? A la réflexion... non. Pas vraiment.
Ez' n'eut aucun mal à retrouver la jeune femme. Arrivé à sa hauteur, le daemon s'arrêta et Guillame fit de même. Elle était en piteux état, ses vêtements étaient recouverts de sang et elle semblait souffrir le martyr. C'était un miracle qu'elle soit encore vivante ! Guillame toussota pour attirer son attention.

- Heu... besoin d'aide ? C'est toi qui t'es fait renverser, non ? Tu devrais peut-être aller à l'hôpital...

Simple remarque. Si elle restait là elle allait se vider de son sang. Et Guillame n'avait aucune envie d'avoir un cadavre sur les bras ! Ezequiel passa sa langue sur son museau et s'assied sagement sans quitter la fille des yeux.

Shtoum (c)

Je me demandais où pouvais bien être passé mon daemon, je vis sa petite tête sortir du grillage et j'avoue que cela me rassura, il était essouffler et dans quelques minutes il serait près de moi.

- Heu... besoin d'aide ? C'est toi qui t'es fait renverser, non ? Tu devrais peut-être aller à l'hôpital...

Je sursauta et grimaça de douleur. Il ne manquais plus que ça ! Si il voulais m'emmenez à l’hôpital et qu'il croyais que j'allais le suivre docilement il se trompais lourdement. De plus si j'en avais vraiment besoin j'y serais allez toute seule, la princesse n'a pas forcement besoin d'un prince charmant pour s'en sortir et cheminer dans sa vie. Les filles sous-estimé à longueur de journée ça me tapai sur les nerf. Mais en même tant ça partais peut être d'un bonne intention, une personne qui se vide de son sang sous vos yeux ne doit pas être très agréable... Mais ne sachant pas le fond de la pensé du jeune homme j’optai pour ce que je faisait tout le temps.

- Dégage. Dit-je d'un ton qui se voulais menaçant.

Si un être normal me voyais comme ça je risquait de devenir un rat de laboratoire ce qui ne me plaisais pas du tout comme futur avenir. Ils me ferait mourir de toutes les manières possible et m'enfermerais comme un animal, peut être que des personnes avaient déjà passer leur vie dans un endroits comme ça en tout cas ce n’étais pas mon intention ! Je le détailla de haut en bas et me détendis à la vue du lynx, il m'avait retrouvé grâce à l'animal et n'allais pas appeler tout le petit monde qui me cherchais.

- Ils seraient assez surpris de découvrir que leurs monde n'est pas conçu comme il l’imagine. J'ai pas besoin d'eux, ils n’ont pas besoin de nous.

Froggy m’ayant rejoins je tendis le bras pour le faire grimper sur mon épaule, une chose qu'il adorait faire même après que je le lui est formellement interdit, pour finalement m'y accoutumé.

- Ton nom est?

[Je me suis rendue compte que le rp était à l’extérieur et non de la parc... Je suis désolé.]

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